Venise

  • Le 14/05/2022

J’ai fait comme Nietzsche de nombreux séjours à Venise, qui forment dans ma tête un seul long mauvais souvenir.

Pour Nietzsche, Venise est la ville de la musique ; pour moi, c’est la ville du mensonge.

Lui-même musicien, Nietzsche précise dans Ecce homo ce qu’il demande « véritablement » à la musique : « Qu’elle soit de belle humeur et profonde comme un après-midi d’octobre, qu’elle soit désinvolte, tendre, une douce petite femme pleine d’abjection et de grâce. »

Illustration en forme d'interpellation post mortem...

 

Nietzsche, So lach doch mal (Allons, ris un peu)